Bruno Casset, ancien apiculteur professionnel et Président de l’ADA pendant plusieurs années, fait partie des fondateurs du GAPS et nous retrace son histoire
Après la fin de l'association, le Groupement est relancé en 1996 suite à deux très mauvaises années apicoles (7 kg / ruche !). Le groupement demande l’état de calamité agricole auprès de a DDT et passe de 4 à une douzaine de membres.
Bruno Casset obtenient l’appui de la profession et de la Chambre d’Agriculture, et participe à la création de l’ADARA (Association pour le Développement de l’Apiculture en Rhône Alpes, devenue depuis ADA AURA) et du CETA (Centre d’Etude Technique Apicole).
En 98-99, le GAPS devient un syndicat adhérant à la FDSEA. Il élargit ses membres à la Haute-Savoie.
Ses objectifs étaient alors de promouvoir l’apiculture professionnelle Savoyarde (peu connue à cette époque).
Le choix des adhérents, désormais validé à l'AG, doit être représentatif, soutenu et identifié dans le milieu agricole savoyard.
En 2010, le GAPS regroupait 27 adhérents, il en regroupe plus de 50 en 2023 ! Le GAPS est resté au fil des années un pilier pour les expérimentations de l'ADARA puis l'ADA AURA: le groupe est toujours très engagé, notamment sur les essais varroas, la fourniture de données technico-économiques.
Le GAPS est un syndicat neutre politiquement, rattaché à aucun syndicat national. Fort de plus de 50 membres apiculteurs/rices professionnels de Savoie et Haute-Savoie, le GAPS a de nombreux projets en cours.
Le GAPS continue son travail de longue haleine et permanent pour faire reconnaître l'apiculture professionnelle savoyarde dans les instances politiques (départementales et régionales) et agricoles avec ses spécificités.